Étiquette : Trump
Coronavirus & Bioterrorisme Néo-Nazi
Aux États-Unis, depuis l’élection de Donald Trump, l’idéologie raciste prend de l’ampleur. Suite à la pandémie générée par le Covid-19, les suprémacistes blancs veulent utiliser le virus comme une arme! Actuellement, des partisans néo-nazis discutent de stratégie destinée à utiliser de la salive infectée par le coronavirus et cibler les agents des forces de l’ordre ainsi que les ″non blancs″. Selon un rapport publié par Yahoo News, les extrémistes se servent d’une application cryptée pour mettre au point leurs actions contaminantes. Source, infos et suite de l’article: Rolling Stone magazine.
Patrick BETAILLE, mars 2019
Gerald Scarfe – The Wall
Dessinateur et caricaturiste anglais, Gerald Scarfe est surtout connu pour avoir travaillé avec Pink Floyd sur le concept album sur lequel figure l’éblouissante Screming Head, la scénographie des concerts et le film The Wall. C’est lui en effet qui a réalisé les dessins ayant servi de base au projet artistique du cover art de l’album et aux animations du long métrage. En tant que caricaturiste et illustrateur, Scarfe travaille surtout pour le New Yorker et le Sunday Times dont l’édition du 27 janvier 2013 lui valent quelques soucis de la part des organisations juives. En effet, là aussi de mur il est question. A l’époque le Sunday Times publie une caricature représentant le Premier Ministre israélien Benyamin Netanyahou construisant un mur avec le sang et le corps des Palestiniens et légendée: ″Élections israéliennes – Va-t-on continuer à cimenter la paix?″. A l’occasion l’artiste ne manque pas non plus de s’en prendre à Donald Trump à qui il voue une haine féroce, notamment quand il fait dire au Président des USA: ″We are going to make America Hate again″ (nous allons à nouveau faire haïr l’Amérique)!
Patrick BETAILLE, novembre 2018
Le livre sur l’histoire et la censure des pochettes de disques: In Vinyle Veritas!
Steven Tyler V/S Donald Trump – Living on the Edge!
En 2015, l’équipe juridique d’Aerosmith avait déjà averti le candidat républicain à la présidence pour son utilisation de ″Dream On″ pendant sa campagne électorale. Récemment, au cours d’un rassemblement au Charleston Civic Center dans l’État de Virginie, l’équipe de campagne de Donald Trump a trouvé opportun d’utiliser un autre single du groupe: ″Livin’ on the Edge″. Steven Tyler est furax et il le fait savoir via ses avocats. Dans une lettre adressée au président des Etats Unis ceux ci déclarent: ″En utilisant Livin’ on the Edge sans la permission de notre client, M. Trump viole spécifiquement l’article 43 de la loi Lanham Act, car il est susceptible de provoquer de la confusion … ou de tromper quant à l’affiliation, le lien ou l’association d’une telle personne avec une autre… Ce qui rend cette violation encore plus flagrante, c’est que l’utilisation de la musique de notre client par M. Trump a déjà été notifiée, non pas une, mais deux fois, pendant sa campagne présidentielle en 2015″. Nota: c’est Steven – The Demon Of Screaming – Tyler, et non le groupe Aerosmith qui intente une action en justice contre Trump.
Patrick BETAILLE, septembre 2018
Keith Richards et Donald Trump – A couteau tiré!
La BBC révèle que lors d’une récente interview, Keith Richards a fait part d’une anecdote à propos de l’actuel président des États-Unis. Les faits remontent à 1989. A l’époque, Donald Trump était impliqué dans l’organisation d’un concert des Rolling Stones à Atlantic City. Le guitariste révèle que, passablement énervé par les exigences financières de Trump, il a posé son schlass sur le bureau du promoteur: ″Mec, il va falloir que tu t’expliques avec ça!″ aurait il dit. S’appuyant sur ces faits, l’artiste a ensuite ironisé: ″Désormais, l’ Amérique doit se débarrasser de lui″, en ajoutant: ″…et ne dites pas que je ne vous avais pas prévenus!..″. Faut pas faire chier Keith, surtout quand un président s’approprie sans autorisation ″You Can’t Always Get What You Want″ pour en faire un de ses hymnes de campagne. Let it bleed!
PB, mai 2018
Juncker V/S Trump – Harley, Levi’s et Jack Daniel’s sur la sellette!
What the fuck! Suite aux tonitruantes déclarations de Donald Trump à propos de barrières douanières sur l’acier et l’aluminium, l’Europe menace les États-Unis. Par la voix de Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne qui dit ″L’Europe doit se défendre et elle va se défendre″, des mesures de rétorsion sans précédent sont annoncées: ″Nous allons mettre en place des contre-mesures concernant les droits d’importation de produits américains, notamment Harley-Davidson, le bourbon et les jeans Levi’s″. Ça fait peur hein? Mouarf! Étonnamment il n’est pas question de s’attaquer à MacDonald’s, Ford, Apple, Coca Cola, Boeing et encore moins à Google, Amazon, Hewlett Packard et d’autres à qui l’Europe fait des ponts d’or en matière de fiscalité. Tremble Donald! Bientôt tous les français rouleront en Triumph, BMW ou Guzzi, porteront des Tuffery et se murgeront au Pastaga. Et si ça suffit pas nous demanderons à
SuperMacron SuperDupont de noyer ton pays sous des milliers de tonnes de camemberts au lait cru, moulés à la louche et faits à cœur. Na!
Donald Trump – Permis de tuer en Alaska!
Existe t’il des mots assez forts pour exprimer l’horreur ressentie face à des résolutions aussi aberrantes? Existe t’il des termes adaptés à l’incompréhension suscitée par l’irresponsabilité méprisante d’un pouvoir? Existe t’il un remède à la haine et au dégoût éprouvés à l’égard d’un égocentrique pervers et décérébré? Depuis le 10 avril 2017, les loups, les ours et leurs progénitures pourront être à nouveau abattus en Alaska, y compris dans leurs tanières. Cette nouvelle loi, que l’on doit à l’ inénarrable Donald Trump, est entrée en vigueur, faisant machine arrière sur tout un ensemble de mesures mis en place aux États-Unis par l’ancien président Barack Obama. Alors oui! Il existe un moyen de s’insurger contre ces exactions qui aujourd’hui et de façon ignominieuse nuisent aux valeurs humaines les plus élémentaires: Signons contre la cruauté et pour la sauvegarde de notre planète. C’est ici et maintenant!
Roger Waters torpille Donald Trump
Roger Waters ne décolère pas contre Donald Trump, il se dit même ″prêt à rejouer The Wall″ en intégralité devant la frontière mexicano-américaine, pour dénoncer le projet de mur voulu par le nouveau pensionnaire de la Maison Blanche. Déjà en octobre dernier à au cours du ″Desert Trip″ Le co-fondateur de Pink-Floyd avait manifesté son dégoût vis à vis du président des USA. Durant la prestation de ″Pigs″ de l’album ″Animals″, il s’est en effet payé le luxe projeter des images de Donald Trump associées à la mention ″pendejo″ (imbécile!) et de décorer l’arrière scène d’un immense ″TRUMP IS A PIG″. Le bassiste n’a visiblement pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. La tournée mondiale intitulée ″Us + Them″ qui débutera en mai 2017 et passera par la France en 2018 sera ″une démonstration de résistance, pas seulement contre Trump, mais vis à vis de tous les despotes, dictateurs et bons à rien sur cette terre″ (interview Rolling Stone magazine, extrait); à bon entendeur… Il sera donc question de dénoncer le dictat de l’argent, les ravages guerriers, les désastres écologiques et de porter un message humaniste sur fond de révolte; thèmes chers au compositeur et qui seront au cœur de ″Is this the life we really want?″ (Est ce vraiment la vie que nous voulons?) le nouvel album à paraitre en mai. Roger Waters a toujours quelque chose à dire et c’est autrement plus intéressant que la plastique de Kim Kardashian ou les frasques de Justin Bieber. Du moins il me semble!
PB, avril 2017
Élections Américaines – Yes they can!
•Écouter celui qui trouve Vladimir Poutine sympathique et qui a les faveurs de Kim Jong-Un? Yes they Can!
•Donner du crédit à celui qui promet d’isoler le Mexique grâce à un mur? Yes they Can!
•Se rallier à celui qui affirme que les émigrés sont des drogués et des violeurs? Yes they Can!
•Appécier celui qui prétend qu’une femme ne peut tenir tête à un homme que lorsqu’elle a ses règles? Yes they can!
•Encenser celui qui avance qu’une partie de sa beauté consiste en sa richesse? Yes they Can!
•Se fier à celui qui certifie que face à une attaque, vous devez riposter, être brutal et féroce? Yes they Can!
•Plébisciter celui qui promet d’être le plus grand président de l’emploi que Dieu a crée? Yes they can!
•Flatter celui qui révèle que le réchauffement climatique a été créé par et pour les chinois dans le but de rendre l’économie américaine non compétitive? Yes they can!
•Voter pour celui qui présume que le monde serait meilleur avec Hussein et Kaddhafi? Yes they Can!
Comme quoi, un Eléphant ça Trump énormément!
Alice Cooper – Elected?
Enfin un peu de piment dans la course à la maison blanche! Les Américains n’auront plus uniquement le choix entre Hillary Clinton et Donald Trump. Vincent Damon Furnier, aka Alice Cooper, vient officiellement d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle américaine. Dans son programme le rocker déjanté de 68 ans annonce quelques mesures bien ciblées:
- Le retour de Brian Johnson au sein d’ACDC
- La fin des livres et des crayons
- Lemmy sur le mont Rushmore
- Des billets de 50$ à l’effigie de Groucho Marx
- La tête de Peter Sellers sur les coupures de 20$
- Des portes-gobelets sur tous les sièges d’avions
- Bannissement des selfies sauf durant la journée nationale du selfie
Avec un slogan tel que ″A troubled man for troubled times″! on est loin de ″Le changement c’est maintenant″ ou de ″La France forte″… Mister nice guy ne se fait aucune illusion quant à l’aboutissement d’une campagne qui consiste pour le moment à vendre des produits dérivés et à rééditer ″Elected″, le hit sorti pendant la campagne de réélection de Richard Nixon en 1972. ″L’ humour c’est aussi une façon de résister″ (Guy Bedos). Alors: Votez Alice!
Patrick BETAILLE, août 2016